Comment quitter son emploi pour créer son entreprise ?

En 2021, la France comptait près d’un million de créations d’entreprises. Tout quitter pour créer son entreprise est une idée qui titille de plus en plus de salariés français, plus ou moins jeunes.
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Encouragé par la crise du Covid et le changement des modes de travail, l’entrepreneuriat post-salariat devient une réelle alternative et un projet de carrière solide. Pour autant, quitter son emploi pour entreprendre n’est pas sans risque et doit se faire intelligemment. Voici tous nos conseils pour réussir ce changement de vie !  

Pourquoi quitter son emploi pour créer une entreprise ?

Je suis en CDI et je veux créer mon entreprise 

Les raisons qui poussent un salarié à entreprendre sont multiples. Très souvent, la lassitude d’un emploi sans perspective et dénué de sens rencontre une envie de liberté professionnelle. D’après une étude de l’INSEE, 62% des entrepreneurs sont motivés par le souhait d’être indépendant. 44% d’entre eux citent aussi le goût d’entreprendre et le désir d’affronter de nouveaux défis comme sources de motivation supplémentaires. Enfin, près de 24% des entrepreneurs sont motivés à l’idée de voir leurs revenus augmenter.

Pour une grande majorité des entrepreneurs (plus de 60%), l’objectif est dans un premier temps d’assurer leur propre emploi. Chiffre éloquent en ce sens, 13% des entrepreneurs interrogés assurent avoir entrepris par contrainte parce qu’ils étaient sans emploi. 

Cette étude démontre bien que l’entrepreneuriat est porté par cette quête de liberté, d’autant plus quand le parcours professionnel se résume à des années de salariat. Toutefois, il existe des risques à créer son entreprise en quittant son emploi. 

Les risques de quitter son emploi pour entreprendre

Si tout quitter pour être « entrepreneur et libre » était sans risque, il n’y aurait que peu d’intérêt à le faire finalement. Il est important que les salariés quittant leur emploi aient conscience de ces risques, puisqu’il est toujours plus simple d’appréhender les risques que nous connaissons. 

Le risque financier : Pour faire simple, le salaire fixe qui tombe tous les 27 du mois, c’est terminé. Au début en tout cas. S’il existe certaines situations pour lesquelles il est possible de bénéficier des allocations chômage, vos revenus seront amputés d’une partie non négligeable. Il est donc primordial de prévoir son départ et d’anticiper vos besoins financiers pour pouvoir vivre jusqu’à ce que votre projet vous permette de vous verser un salaire. 

Les « joies » du statut d’indépendant : En étant salarié, nous ne nous rendons pas toujours compte des avantages dont nous bénéficions comme les horaires de travail fixes, les titres restaurant, la mutuelle et les congés payés. Tous ces avantages deviennent des charges pour votre entreprise et votre portefeuille.

La solitude de l’entrepreneur : Quand nous entreprenons, nous sommes souvent seuls. Au sens littéral du terme d’abord, puisqu’à la création de votre entreprise, il y a très peu de chance que vous puissiez recruter. Ensuite, nous sommes souvent seuls face à nos décisions. Il n’existe plus la possibilité de se reposer sur des collègues, des n+1 ou autre. Vous devrez prendre toutes les décisions et en assumer le succès et l’échec. 

La probabilité de l’échec : En 2021, près de 30 000 entreprises ont fermé leurs portes. Si ce chiffre diminue chaque année, l’échec fait partie intégrante de l’entrepreneuriat. Sans en avoir peur, il faut le prendre en compte et l’anticiper. Que faites-vous si votre projet ne décolle pas dans 6 mois ? Êtes-vous prêt à retourner dans le salariat ? 

Comment quitter son emploi pour créer une entreprise ?

Votre décision est prise, vous souhaitez quitter votre emploi pour créer une entreprise, il faut désormais identifier les possibilités existantes. Démission, licenciement, congés sans solde… chaque possibilité a des avantages et des inconvénients, les voici en détail. 

La démission pour créer son entreprise

C’est la méthode « all-in », plus de retour en arrière possible, vous quittez votre entreprise en prenant une décision unilatérale.

Définition et risques

Lorsque vous démissionnez, vous renoncez officiellement à un emploi. Vous renoncez aussi à tous les avantages de ce poste. Vous devez être en CDI pour démissionner. Les salariés en CDD doivent aller au bout de la durée de celui-ci.

Une démission n’a pas à être acceptée par l’employeur, en revanche vous êtes soumis à la durée du préavis. Celle-ci varie en fonction de la convention collective, mais elle est habituellement d’un mois pour un salarié (3 mois pour un salarié au statut-cadre).  

La démission n’ouvre aucun droit au chômage. Il faut donc anticiper la disparition soudaine de vos revenus professionnels. 

La clause de non-concurrence 

La démission ne vous libère pas pour autant de tous vos devoirs. La clause de non-concurrence est intégrée dans certains contrats de travail. Cette clause stipule que le salarié s’engage à ne pas concurrencer son employeur après son départ de l’entreprise. Cette clause doit respecter des critères géographiques, être détaillée sur les activités visées et justifier qu’en cas de mise en péril des intérêts légitimes de l’employeur.

L’employeur souhaitant activer la clause de non-concurrence devra verser une indemnité compensatrice au salarié, et ce sans tenir compte de la cause du départ.  

La rupture conventionnelle

C’est l’occasion de tester vos talents de négociateur avec votre employeur. C’est le format le plus adapté à l’entrepreneuriat puisque la rupture conventionnelle ouvre droit au bénéfice de l’allocation d’assurance chômage si les conditions sont remplies.

Définition et risque

La rupture conventionnelle est une procédure qui permet à l’employeur et au salarié de convenir en commun des conditions de la rupture du contrat de travail qui les lie. Elle n’est possible que pour les contrats de travail à durée indéterminée (CDI).

Lors d’une rupture conventionnelle, le salarié perçoit une indemnité spécifique de rupture conventionnelle dont le montant est calculé en fonction de son ancienneté et de son salaire.

Le montant de l’allocation d’aide au retour à l’emploi minimale est fixé à 29,68€/jour.Il peut être plus élevé pour les salaires importants jusqu’à 256€/jour toutefois une dégressivité s’applique à partir du 183e jour d’indemnisation. 

Le licenciement

Qu’il soit économique, pour motif personnel ou suite à un plan de départ volontaire, le licenciement répond sensiblement aux mêmes conditions que la rupture conventionnelle. À la différence que c’est l’employeur qui vous libère de vos droits et devoirs.

Les salariés qui font l’objet d’un licenciement qui ont travaillé au moins 6 moins au cours des deux dernières années peuvent bénéficier de l’allocation chômage. 

Abandon de poste pour créer son entreprise 

Ce n’est clairement pas la meilleure idée pour entreprendre. Si dans les faits, l’abandon de poste se transforme souvent en licenciement, les délais liés à la procédure ne sont pas idéaux. Le salarié ne perçoit aucun salaire brut jusqu’à la date effective de son licenciement. 

De plus, durant la procédure de licenciement, le salarié n’a pas le droit de travailler dans une autre entreprise ou de générer des revenus liés à une activité professionnelle. Si l’employeur décide de faire traîner la procédure, le salarié peut vite perdre un temps précieux dans le processus de création d’entreprises. 

Comment quitter son travail sans perdre ses droits pour créer une entreprise ?

Une seule réponse : la démission pour création. Depuis novembre 2019 et la reforme de l’assurance-chômage, les salariés démissionnaires peuvent toucher le chômage lorsqu’ils poursuivent un projet de reprise ou de création d’entreprises, quelle que soit la forme juridique choisie.

Les démarches pour obtenir une démission pour création 

Ce dispositif qui attire de plus en plus de futurs entrepreneurs répond à des critères d’obtention basée sur l’expérience professionnelle et la viabilité du projet envisagé. Pour l’obtenir, il faut :

  • Avoir travaillé pendant 5 ans pour le même employeur et être en CDI
  • Présenter son projet à une commission paritaire interprofessionnelle et régionale qui va analyser la viabilité du projet de reconversion. 

Avant de démissionner, le salarié doit demander un conseil en évolution professionnelle, pour établir son projet de reconversion. Après validation de son dossier, le salarié démissionnaire doit respecter ses engagements sous peine de voir ses allocations suspendues.

Comment créer son entreprise sans quitter son emploi ? 

Une des solutions pour tester une idée d’entreprise est de créer son activité tout en restant salarié. Vous pouvez demander un congé pour création ou reprise d’entreprises, ou continuer à 100% votre emploi tout en développant votre projet en parallèle. Évidemment, il y a des avantages et des inconvénients que nous allons analyser ici. 

Le congé pour création d’entreprises

Comme son nom l’indique, il est possible d’obtenir un congé d’un an auprès de son employeur pour mener un projet de création ou reprise d’entreprise. L’avantage de ce dispositif réside dans la possibilité de réintégrer votre entreprise sur un poste et une rémunération au moins équivalente si le projet n’aboutit pas. 

Dans les faits, c’est une suspension temporaire de votre contrat de travail. Vous ne percevez donc aucune rémunération. Le congé pour création d’entreprises dure un an, renouvelable une fois. À son issue, le salarié devra choisir entre quitter son travail et continuer la création de son entreprise.

  • Le salarié désirant réintégrer son entreprise doit informer au moins 3 mois avant la fin de son congé son employeur.
  • Le salarié désirant rompre son contrat de travail pour se consacrer à son projet doit informer au moins 3 mois avant la fin de son congé son employeur. 
  • Le salarié désirant prolonger son congé pour création doit adresser sa demande au moins deux mois avant la fin du congé en cours. 

La seule condition pour obtenir un congé pour création d’entreprises est de justifier de 24 mois d’ancienneté dans l’entreprise. La demande de congé doit être adressée à l’employeur au moins 2 mois avant la date de départ envisagée.

L’employeur peut-il refuser une demande de congé pour création d’entreprises ? 

L’employeur peut reporter ou refuser une demande de congé pour création ou reprise d’entreprises. L’employeur peut justifier un report de la date dans les 6 mois suivant la demande :

  • Soit pour limiter le nombre d’absences simultanées dans l’entreprise 
  • Soit s’il estime que le congé peut être préjudiciable pour le bon fonctionnement de l’entreprise

En ce qui concerne le refus d’une demande de congé pour création, il peut être justifié : 

  • Dans toutes les entreprises, si les conditions de la demande du salarié ne sont pas valides. Par exemple, la condition d’ancienneté non remplie ou une date trop proche.
  • Pour les entreprises de moins de 300 salariés, si le départ du salarié est préjudiciable au bon fonctionnement de l’entreprise
  • Pour les entreprises de moins de 300 salariés, si la demande est faite par un salarié moins de 3 ans après une précédente création.

Il faut savoir qu’en absence de réponse de l’employeur, dans un délai de 30 jours à compter de la réception de la demande, l’accord est considéré comme acquis.

Le temps partiel pour la création d’entreprises

Le salarié qui ne veut quitter son emploi pour créer son entreprise peut aussi demander là travailler à temps partiel. Le passage à temps partiel pour création d’entreprises est un procédé similaire au congé, sauf qu’il consiste en une baisse temporaire du temps de travail.

Les conditions d’obtention sont les mêmes que le congé en ce qui concerne l’ancienneté, la procédure de demande et la durée possible. Il faudra bien entendu préciser l’amplitude de la réduction du temps de travail souhaitée. 

L’employeur peut reporter ou refuser la demande de passage à temps partiel si le salarié ne remplit pas les conditions requises. En cas d’acceptation, le salarié doit signer un avenant au contrat de travail fixant la durée de la période et le nouveau temps de travail hebdomadaire. Naturellement, le salarié en temps partiel pour création d’entreprises est rémunéré en proportion de son temps de travail. 

L’obligation de loyauté du salarié en congé pour création d’entreprises

L’obligation de loyauté du salarié impose au salarié de ne pas nuire à la bonne exécution du contrat de travail ou de porter préjudice à son employeur. Le salarié en congé pour création d’entreprises ou en passage à temps partiel pour création d’entreprises reste soumis à son obligation de loyauté envers son employeur.

Cela se traduit par exemple par une interdiction de travailler pour sur le développement de son projet pendant ses heures légales de travail. De même, il est estimé par la loi que le salarié qui part avec des clients de son entreprise ne respecte pas le principe de bonne foi reconnu dans le Code du travail. Tout ce qui concerne la création d’une activité concurrente à son employeur sur ces heures de travail n’est pas non plus considéré comme un acte loyal. 

L’obligation de loyauté prend fin lorsque le contrat de travail liant le salarié et l’employeur est définitivement rompu. 

Créer une entreprise en restant salarié : la méthode side project 

Définition de Side project 

Un side project c’est un projet de création d’entreprises qui se fait « à côté » de son emploi. Ici, il n’est pas question de démission, de congé ou de temps partiel, mais plus d’un projet qui se fait sur son temps libre.

Le side project est à la fois le moyen d’apprendre de nouvelles compétences, de tester une idée d’entreprise, de créer un revenu supplémentaire ou d’occuper son temps. Très souvent on va retrouver dans la catégorie side project : 

  • Les blogs de passion (blog sur vos voyages, site sur votre passion sportive…) 
  • Création d’une chaîne Youtube / Podcast sur une sujet qui vous tient à coeur ou une expertise 
  • Activité de micro-influence sur les réseaux sociaux
  • Petits sites e-commerce en dropshipping 
  • Site de tutos et/ou formation 
  • Vente de produits artisanaux (bijou, alimentaire…)

Selon nous, le side project est vraiment une opportunité unique de toucher du doigt l’entrepreneuriat sans prendre le risque ultime pour un salarié. 

Les aides financières à la création d’entreprises après avoir quitté son emploi

Peu importe la procédure choisie pour quitter votre emploi, il est important de vous inscrire au Pôle Emploi pour bénéficier de certaines exonérations et formations utiles à la création d’entreprises.

Comment obtenir l’allocation chômage après une démission pour création d’entreprises ? 

En cas de licenciement ou rupture conventionnelle, le salarié qui quitte son emploi pour créer son entreprise peut bénéficier de l’Aide au Retour à l’Emploi (ARE) dont le montant est calculé et versé par Pôle Emploi. 

L’ARE a l’avantage d’être cumulable avec les revenus liés à la nouvelle activité. Il est possible de cumuler les deux en totalité chaque mois, ou de cumuler que partiellement les deux et donc de transformer l’ARE non consommée chaque mois en allongement de la durée d’indemnisation.

L’ARE peut être converti en Aide à la Reprise ou la Création d’Entreprises (ACRE), une aide qui vous permet de toucher 45% de votre ARE en deux versements pour constituer le capital de votre entreprise. 

Les créateurs d’entreprise inscrits à Pôle Emploi non indemnisés peuvent bénéficier de l’Aide aux Chômeurs à la Création ou à la Reprise d’Entreprise (ACCRE) qui est une exonération partielle du paiement des cotisations sociales au lancement de leur entreprise. 

Les 5 grandes étapes pour créer son entreprise après une démission

Vous avez choisi votre option pour quitter (ou pas) votre emploi et vous lancer dans une aventure entrepreneuriale. Bravo, mais le plus dur commence ! Voilà 5 étapes pour vous permettre de déclencher vos actions dans le bon ordre.

Le départ de votre entreprise et l’inscription au pôle emploi (obtenir l’attestation pôle emploi) 

Dans un premier temps, vous devez absolument éclaircir votre situation vis-à-vis de votre employeur. Soit pour trouver une issue pour mettre fin au contrat de travail et conserver vos droits, soit pour demander un congé pour création d’entreprises. 

Veillez à bien obtenir votre attestation Pôle Emploi, un document qui reprend vos salaires, vos primes et l’indemnité de départ, qui permettra de faire valoir vos droits aux indemnités chômage.

À j+1 de la rupture de votre contrat de travail, vous pourrez vous rendre sur le site de Pôle Emploi pour vous inscrire. En ce qui concerne le montant de l’ARE, Pôle Emploi va calculer un montant journalier en faisant la moyenne de vos salaires sur les 12 derniers mois : 

  • Soit 40,4% du salaire journalier de référence + 12€
  • Soit 57% du salaire journalier de référence

C’est l’option au montant journalier le plus élevé qui est choisie dans l’intérêt de la personne en phase de création d’entreprises.

Si vous décidez de vous lancer en mode side project, restez discret et avancez tranquillement. Vous aborderez ces sujets avec votre employeur le jour où vous déciderez de quitter l’entreprise. 

Créer votre offre et votre stratégie d’entreprise 

Vous êtes officiellement en recherche d’emploi (en création d’entreprises plutôt), il est temps de se pencher sérieusement sur votre projet d’entreprise. À ce stade, vous avez normalement : 

  • Une idée précise de ce que vous voulez faire
  • De votre cible
  • Du type d’offre (vente, prestation de service, formation…) 

Il faut donc peaufiner tout ça en travaillant plus précisément sur votre cible, votre nom, vos objectifs avec ce projet, vos prix… Il faut désormais structurer votre projet pour le transformer en entreprise qui doit générer du chiffre d’affaires. Vous pouvez : 

  • Réserver un nom de domaine pour votre site internet 
  • Réfléchir à votre premier produit/service
  • Noter dans un fichier Excel toutes les personnes de votre réseau qui peuvent être utiles
  • Planifier les étapes du lancement de votre produit/service

Immatriculer votre entreprise (et prévenir Pôle Emploi) 

Vous pouvez totalement entamer les démarches administratives pour immatriculer votre entreprise en parallèle des deux premières étapes. Vous pouvez opter pour différents statuts en fonction de votre activité et de vos ambitions. Il est important d’avertir Pôle Emploi de la création de votre entreprise pour prétendre au cumul partiel ou total de vos indemnités comme vu précédemment.

Vous devrez fournir différentes pièces justificatives en fonction de votre statut comme l’extrait Kbis de votre entreprise. Les équipes de Pôle Emploi peuvent parfois faire des erreurs dans les dossiers, soyez vigilant et courtois dans vos échanges.

Pensez ensuite tous les mois à actualiser votre situation. Cette actualisation a pour but d’informer Pôle Emploi d’éventuels revenus perçus ou d’un changement de situation, par exemple si vous avez trouvé un emploi. C’est en fonction de ces informations que Pôle Emploi calcule les indemnités à verser. 

Définir votre stratégie de communication 

Vous avez une offre, votre entreprise est immatriculée et vous avez fait le nécessaire avec Pôle Emploi. Il faut désormais rendre votre entreprise visible pour trouver des clients. Vous devez choisir entre différentes actions de communication physiques, digitales ou les deux.

On retrouve notamment dans la communication physique :

  • Une boutique / un lieu
  • Des affiches / flyers
  • Des salons / marchés
  • Du sponsoring 

On retrouve dans les leviers de communication digitale : 

  • Un site internet
  • Des pages sur les réseaux sociaux
  • De la publicité en ligne
  • Des pages sur les moteurs de recherche (Google, Bing)
  • Des campagnes mailing 

Cette liste non exhaustive vous donne l’étendue du travail qui est le vôtre à partir d’aujourd’hui. Entreprendre c’est avant tout rendre visible son entreprise pour sa cible dans le but de vendre votre produit/service.  

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